# 1245 - Commérages sur Alan

Maggie dit à Elsie que Hilda fait des commérages sur Alan.

Ernest convainc Annie de chanter There'll Always Be an England lors de la soirée des années 1940.

Hilda dit à Elsie qu'elle a été licenciée parce qu'elle en savait trop sur Alan et Rita.

Norma annonce avec enthousiasme à Emily qu'elle ne sera pas seule à Noël. Ken est contrarié par les félicitations d'Emily à l'égard de Norma et lui. Il rencontre Norma et lui lit le poème en entier :

Parler avec toi, marcher, ta main dans la mienne,

A travers des bois dont on se souvient bien,

Et regarder la lumière du soleil chercher à travers les arbres,

Pour trouver tes yeux,

Tels sont les plaisirs de ma vie.

Être avec toi, sentir tes pensées inexprimées rencontrer les miennes,

Et conduire nos lèvres et nos mains avides vers des délices mutuels,

Ce sont mes plaisirs aussi.

Mais des doutes surgissent, pour manquer ces bois et obscurcir ces yeux,

Car sans amour, tous les plaisirs meurent,

Et bientôt, le dernier plaisir restant est l'adieu.

Norma comprend que c'est fini. Ils acceptent d'être amis, mais Norma s'effondre dans la ruelle arrière, ignorant que Jerry l'a vue.

Elsie décide de demander à Rita ce qui se passe.

Norma dit à Emily qu'elle plaisantait à propos d'elle et de Ken.

Rita dit à Elsie qu'il n'y a rien entre Alan et elle - c'est de l'alcool qu'elle doit s'inquiéter.

C'est le premier épisode à présenter la petite ruelle derrière les maison et les cours de Coronation Street comme faisant partie du décor extérieur de Grape Street. La construction a eu lieu après la précédente apparition de la ruelle dans l'épisode 1207 (9 août 1972), où il avait été construit en studio. La scène dans laquelle il est apparu a été enregistrée en OB.

Le poème que Ken Barlow lit à Norma Ford dans cet épisode a été écrit à la hâte par le producteur exécutif H.V. Kershaw après que l'équipe de rédaction ait cherché en vain un poème romantique avec une pointe d'humour. Pour ne pas les décevoir, Kershaw a répondu que les vers avaient été écrits par John Graham, un obscur poète écossais qui avait vécu à Édimbourg au tournant du dix-huitième siècle et qui était mort tragiquement à l'âge de vingt-trois ans (information issue du livre The Street Where I Live).

À SUIVRE...