S18 | Cumul | Année 1977 | Titre de l'épisode |
60 | 1725 | Mercredi 27 juillet | L’encombrante tante Edie |
L’ambiance au Rovers n’est pas au beau fixe. Betty Turpin en veut à Annie Walker d’avoir fermé la porte du salon. Fred Gee n’en fait pas cas. Betty est sûre qu’Annie soupçonne l’un d’entre eux d’être le voleur.
Lorsqu’Hilda vient au Rovers pensant y trouver son mari Stan, Betty pense qu’Annie pourrait aussi la considérer comme une potentielle voleuse. Elle lui demande si elle a nettoyé le salon ce matin (Hilda est femme de ménage au Rovers). Hilda lui dit qu’elle n’a pas pu, car la porte était fermée, ce qu’elle a trouvé curieux. Sur les conseils de Betty, Hilda demande à Annie pourquoi elle a fermé la porte à clé. Annie l’informe du vol. Mais comme cela s’est passé dimanche, Hilda est hors de cause, car elle ne fait pas le ménage ce jour-là.
Pour Betty, déjà très agitée par cette histoire, la goutte d’eau qui fait déborder le vase arrive lorsque Fred lui montre la clé qu’il a dans la main. Pour Betty, il apparaît évident qu’elle est maintenant la seule suspecte. Elle va voir Annie dans son bureau. La tenancière l’accueille avec le sourire et le ton condescendant qu’elle tient souvent. Elle est heureuse que Betty vienne se dénoncer. Elle ne lui en veut pas d’avoir volé l’argent, cela arrive à des femmes d’un certain âge. On appelle cela la cleptomanie.
Betty est furieuse contre Annie, elle lui dit qu’elle n’est pas la voleuse et quitte le Rovers, promettant de ne plus y remettre les pieds. « Pauvre Elizabeth », souffle Annie à Fred.
Entre-temps, Albert Tatlock raconte une drôle d’histoire à Fred qui pourrait être en rapport avec le vol. Il parle d’un homme qui s’en allait avec une valise, mais la valise devait être vide, car l’homme a un bras handicapé et ne peut pas porter lourd. Fred ne fait pas attention au monologue d’Albert. Nous verrons plus tard si cela a un rapport avec le vol. Parce qu’on est d’accord, hein ? Ce n’est pas notre Betty qui a volé l’argent.
Au Rovers, Elsie Howard se confie de nouveau à Len Fairclough au sujet de son mari Alan. Elle l’informe qu’elle est allée voir un avocat pour le divorce. Les démarches sont lancées et cela la rend triste.
Hilda souhaite se divertir avec Stan et, pour l’occasion, ressort le tandem qu’elle nettoie. Elle aimerait partir en pique-nique avec son mari sur le tandem, comme ils le faisaient avant. Mais pour Stan, il n’en est pas question. Il prend l’excuse d’être trop vieux et que faire du tandem pourrait être dangereux pour sa santé.
Mais pour faire plaisir à sa femme, il emprunte une voiture et lui offre une sortie. Hilda est aux anges.
Mavis, elle, vit l’enfer. Elle pense qu’elle n’a pas d’autre choix que de retourner chez tante Edie (une femme encombrante que nous n’avons pas encore vue). Rita tente de la dissuader, car elle sait que Mavis adore vivre dans l’appartement. Elle a acquis une indépendance qu’elle risque de nouveau de perdre.
Derek pense la même chose et décide de confronter la cousine de Mavis, Ethel Platt, afin de lui dire que c’est à son tour de prendre soin de tantine. Il téléphone à Ethel et se présente. Mais la cousine de Mavis ne comprend rien et décide de venir les voir.
Elle pense que Derek est marié et profite de Mavis. Elle trouve dégoutant le fait qu'ils vivent ensemble. Après avoir mis les choses au point sur sa relation avec Mavis, Derek dit à Ethel qu’elle doit déménager chez Ethel, c’est à son tour de prendre soin de la tante encombrante. Mais Ethel refuse en prenant plusieurs excuses. D’abord, elle dit que Mavis a vécu très longtemps chez Ethel sans payer de loyer. À cela, Mavis répond qu’elle faisait la cuisine et le ménage à la place. Ensuite, il y a les chiens. Ethel en a deux et ne peut pas les abandonner. « Vous n’avez qu’à les prendre avec vous », suggère Derek. Mais à cela aussi Ethel a une réponse : « Edie est allergique aux chiens ».
Mavis n’a donc pas d’autre choix que de se sacrifier. En pleurs, elle fait sa valise, et fait ses adieux à sa liberté chèrement acquise.
À SUIVRE...
S18 | Cumul | Année 1977 | Titre de l'épisode |
61 | 1726 | Lundi 1 août | Mavis, la Cendrillon de Weatherfield |