Épisode 1729 - Des excuses ne suffisent pas

Annie Walker est toujours très embêtée par la situation entre elle et Betty Turpin. Elle se rend une nouvelle fois au magasin pour s’expliquer avec elle et s’excuser. Elle ne sait plus que faire pour que Betty change d’avis sur sa plainte pour diffamation. Elle a peut-être pensé un très bref instant que Betty pouvait être coupable du vol, mais cela n’a pas duré très longtemps. Betty reste sur ses positions.

Dans un dernier effort pour apaiser les choses, Annie écrit un mot disant qu’elle a la plus grande confiance en Betty et loue son honnêteté exemplaire. Alf Roberts, qui joue un peu le rôle de médiateur dans cette histoire, dit à Annie que c’est une bonne approche.

Annie se rend au magasin et fait lire le mot à Betty. Elle lui dit qu’elle peut l’afficher dans le magasin et s’engage à l’afficher au Rovers. Betty lui répond que cela part d’une bonne intention, mais elle refuse de l’afficher. Cela ne ferait qu’envenimer la situation et les gens, en lisant ça, penseront qu’elle est malhonnête, car elle essaie de se justifier. Furieuse, Annie déchire le mot. Le conflit semble sans issue favorable.

Plus tard, tandis qu’Alf vient une énième fois plaider en faveur d’Annie au magasin du coin, Ena Sharples entre avec Albert Tatlock. Elle veut prouver à Betty que le vieux grincheux n’est pas tout à fait sûr d’avoir bien entendu la conversation entre Annie et Nellie. Nous en avons la preuve, car il s’emmêle les pinceaux et Alf, Betty et Ena se rendent compte qu’ils ont chacun eu droit à une version différente. Ena prouve ainsi à Betty que son seul témoin ne sera pas fiable devant un tribunal.

Tandis qu’Annie se morfond seule dans l’arrière-boutique du Rovers, Betty vient la voir. Elle lui dit qu’elle accepte finalement les excuses d’Annie et qu’elle a décidé de ne pas porter plainte contre elle. Annie est soulagée et veut lui offrir un verre d’amitié, mais Betty prétexte qu’elle doit aller travailler au magasin. Avant de partir, elle informe Annie que si elle a accepté ses excuses, elle n’est cependant pas prête à reprendre son poste au Rovers.

L’autre histoire qui occupe cet épisode est celle du tandem des Ogden. Gail et Suzie l’ont acheté à Stan pour la modique somme de 7 £ juste après que Len a annoncé au couple Ogden qu’il en vaut 100.

Lorsque les filles viennent au numéro 13 le lendemain matin pour régler Hilda, cette dernière leur dit que, finalement, elle a décidé de ne pas le vendre. Elle prend l’excuse avec laquelle elle et Stan veulent partir en vacances avec. Les filles ne l’entendent pas de cette oreille et refuse de rendre le véhicule. Suzie pose l’argent sur la table et elles s’en vont avec le tandem.

Plus tard, Hilda se rend au Kabin pour acheter le dernier numéro de TV Times. Len est avec Rita. Il examine les plans de l’appartement au-dessus de Mavis afin d’y faire des modifications. Il est certain que Mavis ne reviendra pas et restera chez sa tante Edie pour toujours.

Hilda lui demande de ne pas dire aux filles que le tandem vaut 100 £, car elle compte pouvoir le récupérer.

Eddie Yeats, toujours dans les « bons plans », propose aux Ogden de négocier avec les filles et il arrive à leur racheter le vélo pour 15 £. Les Ogden le remercient. Cependant, Eddie leur fait savoir qu’il est maintenant le propriétaire du tandem et qu’à ce titre, il « accepte » de partager les gains de la revente.

Il part avec Stan chez le marchand de vélos, espérant le revendre 100 £. Mais sur le chemin, Stan est ronchon. Il veut faire une pause et aller boire une pinte dans un pub. Afin d’être sûr qu’il ne soit pas volé, Eddie laisse le vélo dans une maison désaffectée.

Ils avaient prévu de rester au pub cinq minutes, le temps de boire une pinte. Mais cela a finalement duré plus longtemps, car ils sortent du pub, un peu éméchés, se tenant par les épaules et chantant à tue-tête en titubant.

Et là… c’est le drame ! Ils s’aperçoivent que durant leur virée, un engin de démolition a ratissé l’immeuble, enterrant le vélo sous les décombres. Stan craint la réaction d’Hilda. De notre côté, nous l’attendons avec impatience. Et nous n’allons pas être déçus…

À SUIVRE...