S18 | Cumul | Année 1977 | Titre de l'épisode |
67 | 1732 | Lundi 22 août | La détestable cousine Ethel |
Au numéro 1, Ken Barlow et l’oncle Albert se chamaillent pour lire le journal. C’est le jour d’arrivée de Peter, le fils de Ken. Il a treize ans, réside avec sa sœur jumelle Susan à Glasgow, chez ses grands-parents. Il rend visite à son père et son oncle, et doit rester deux semaines environ à Weatherfield.
Ken va le chercher à la gare. Ils arrivent dans Coronation Street. Peter ne semble pas excessivement ravi de venir en vacances chez son père et son grand-oncle. Il demande à Ken s’il a la télévision couleur. Il dit qu’il regarde beaucoup la télé et qu’il aime les séries comiques.
Le lendemain, au petit-déjeuner, Albert est aux petits soins pour Peter. Ken demande au gamin ce qu’il veut faire de sa journée : aller le voir travailler au centre communautaire ou rester avec Albert. Le gosse dit que cela lui importe peu. Finalement, il reste au numéro 1 et mate un vieux western à la télé. Lorsque Ken rentre à la maison, ils essaient de discuter. Ken aimerait connaître les centres d’intérêt de son fils, mais visiblement, ils se sentent comme des étrangers l’un pour l’autre.
On parle également dans cet épisode du caca nerveux de Deirdre au sujet du partenariat qui lie son mari Ray Langton à Len Fairclough. Rappelons que Ray ne possède que 40 % des bénéfices du chantier tandis que Len détient les 60 % restants.
Cependant, cela n’entame pas la bonne relation qu’ils ont. Les voyant plaisanter entre eux, Deirdre fait la moue. Len demande à son associé si c’est toujours le partenariat qui la préoccupe. Ray lui dit que cet accord ne convient pas à sa femme. Len lui rappelle qu’ils s’étaient mis d’accord à l’époque où ils ont créé la société. Il est l’associé senior, car c’est lui qui avait les locaux et le savoir-faire. Ray le sait très bien. Len dit qu’il réfléchit à la question.
Au Rovers, Deirdre parle à Rita du partenariat, espérant qu’elle puisse comprendre la situation. Mais Rita lui fait savoir qu’elle est opposée au partenariat 50-50 et offusque Deirdre. Cette dernière refuse de la laisser dicter ses lois.
Donc, tantine Edie est morte dans l’épisode précédent. On s’en doute un peu, Mavis est criblée de remords d’avoir laissé sa tante seule l’après-midi où elle est décédée. S’ajoute à cela le chagrin qu’elle éprouve pour la perte de sa chère tante qui, pourtant, était plutôt du genre possessif. Elle trouve en Derek un soutien inestimable. Il l’accompagne dans son deuil. Mavis est inconsolable. Dans une moindre mesure, Emily Bishop est également d’un grand soutien pour elle et lui apporte des paroles apaisantes.
En revanche, il en est tout autrement pour la cousine Ethel Platt. Elle est carrément imbuvable. Le jour des funérailles d’Edie, elle critique tout et tout le monde. Elle se fait détester par tous tant elle est arrogante. Elle reproche à Derek de viser l’héritage d’Edie, ne serre pas la main à Emily lorsque cette dernière se présente à elle, et critique les sandwiches confectionnés à la hâte par Mavis.
Personne n’ose la contredire. Personne ? Mais si, Rita est là et ne se gêne pas pour lui dire ses quatre vérités. Lorsqu’Ethel reproche à Mavis de ne pas avoir été là au moment du décès de la tantine, Rita lui dit que Mavis était là à chaque étape de sa maladie, elle ne peut pas en dire autant d’Ethel. La conversation tourne à la dispute et Mavis leur demande d’arrêter de se chamailler, c’est plus qu’elle ne peut en supporter.
Plus tard, alors que tout le monde est parti, Mavis converse seule avec Derek dans le salon de feue la tantine, une tasse de thé à la main. Ethel vient leur dire au revoir et, avant de partir, se demande si Edie a laissé un testament. Elle semble moins agressive quand elle parle d’argent. Mavis ne lui dit rien, mais après le départ d’Ethel, Mavis informe Derek qu’il y a effectivement un testament. Il se trouve chez le notaire. Dans ce testament, la tante Edie lègue la totalité de ses biens à Mavis. Cruella va avoir du mal à s’en remettre…
À SUIVRE...
S18 | Cumul | Année 1977 | Titre de l'épisode |
68 | 1733 | Mercredi 24 août | Le testament de Tante Edie |