Épisode 1835 - Un dîner chinois et l’encombrante Mme Williams

Le matin au Rovers, Betty Turpin vaque à ses occupations tandis qu’elle dit à Fred Gee qu’elle a mal dormi cette nuit, car elle n’était pas dans son lit. Elle a en effet joué les chaperons au Rovers. Fred ne voit Wendy Williams nulle part et espère qu’elle est partie. Mais elle débarque de la cuisine et dit bonjour à son « Freddie ».

Fred n’a qu’une envie, c’est se débarrasser d’elle. D’autant plus qu’il reçoit un appel alarmant de Joe, le mari de Wendy. Cet ancien rugbyman veut le voir et ils se donnent rendez-vous ce soir à 17h au Rovers. Fred n’en mène pas large, il pense que Joe veut en découdre avec lui, tandis que lui ne veut qu’une chose : se débarrasser de Wendy.

Les habitués du pub se réjouissent de l’histoire et se moquent de Fred. Lorsque l’imposant Joe débarque au Rovers, tout le monde se tait et regarde les deux hommes s’enfermer dans l’arrière-salle. Joe se précipite sur Fred… pour lui serrer la main chaleureusement.

— Ravi de faire votre connaissance, dit-il avec engouement.

En fait, Joe est venu remercier Fred. Il ne veut plus de Wendy, et par conséquent Fred est son sauveur. Cependant, comme il ne veut pas perdre la face et rester digne, il élabore un scénario selon lequel il demandera à Wendy de rentrer à la maison, et Fred devra s’y opposer et la supplier de rester avec lui.

Pendant ce temps, au bar, tout le monde se demande ce qui se passe dans l’arrière-salle, et ne donnent pas cher de la peau de Fred.

Les choses ne se passent pas comme prévu pour le mari. Lorsqu’il revient au Rovers une heure plus tard pour confronter Fred et Wendy, il a la surprise de sa vie. Lorsqu’il demande hypocritement à Wendy de revenir à la maison, Fred cède volontiers et dit à la jeune femme qu’elle devrait en effet rentrer chez elle, car il est évident que Joe l’aime. Wendy est ravie de voir que Joe s’intéresse à elle et décide de retourner vivre à la maison, et de ne jamais plus le quitter. Joe est horrifié, mais fait tout de même bonne figure. Le couple s’en va main dans la main, et Fred est enfin débarrassé de son fardeau.

Steve Fisher se rend au Kabin pour acheter un stylo. Rita et Mavis l’informent des changements dans la rue et Rita demande à Steve d’aller espionner le Dawson’s Cafe afin de savoir si le service est bon. Steve s’y rend. La serveuse Janice Stubbs le drague ouvertement, et Steve trouve cela agréable. Il retourne au Kabin et donne des notes sur 10 au repas qu’il a mangé. Il donne un « 11 » à la serveuse.

Emily Bishop semble bien se plaire à son nouveau poste de manager. Autour d’une table au Rovers, entourée d’Elsie, Suzie et Ken, elle leur raconte sa journée. De fil en aiguille, ils en viennent à évoquer le passer, et notamment Swindley.

— Qui est Swindley ? demande Suzie.

— Un homme bien, répond Emily.

Elsie raconte qu’Emily a failli épouser Swindley il y a une quinzaine d’années de cela (épisode 375). Ils ont rompu le jour de leur mariage. Ils évoquent également d’autres noms que nous avons connus dans les années 60, comme Doreen Locstock. Elsie a appris qu’elle a quitté l’armée et qu’elle est maintenant épouse et mère au foyer.

Allons maintenant au numéro 5 de Coronation Street, où nous retrouvons Deirdre Langton qui coud une petite robe pour Tracy. Elle reçoit un appel téléphonique qui la met en joie. Elle se rend au Rovers pour annoncer la bonne nouvelle à Rita. Elles décident de faire une surprise à leur mari.

Tandis qu’ils se rendent au Rovers après le travail, Betty leur dit qu’ils ne peuvent prendre qu’une pinte et qu’après, ils sont attendus chez les Langton. Ils s’y rendent et découvrent, surpris, la table dressée. Les femmes ont préparé un dîner chinois comme ils aiment, avec une bouteille de vin grand cru. Ray et Len pensent qu’ils ne peuvent pas se le permettre, mais ils apprécient le repas. Ce n’est à la fin du dîner que Deirdre et Rita leur annonce que Jim Conran a trouvé un nouvel investisseur pour l’hôtel et qu’ils pourront reprendre leur travail de rénovation des chambres.

N’y croyant pas, Ray se précipite vers le téléphone et appelle Conran qui lui confirme la nouvelle et attend nos deux ouvriers demain matin première heure. C’est la fête au numéro 5.

À suivre...