Épisode 1844 - Une autre femme et de drôles de dames

C’est au magasin du coin que nous débutons l’épisode. Hilda Ogden embête Renee Roberts avec le problème de mal de ventre de Stan. Annie Walker débarque et souhaite parler à Renee. Elle attend qu’Hilda s’en aille, car elle ne veut pas que leur conversation se répande dans tout Coronation Street. Hilda s’en va, et finalement revient pour un prétexte fallacieux afin d’espérer capter un morceau de la conversation. En vain, Annie se tait tout le temps qu’Hilda est là. La dame aux bigoudis s’en va pour de bon et Annie peut dire à Renee ce qu’elle a sur le cœur. Elle accuse la propriétaire du magasin d’avoir colporté la rumeur sur les tourtes de viande intoxiquées. Renee essaie de lui faire comprendre que ce n’est pas elle (souvenez-vous du dernier épisode, c’était Albert qui l’a dit à Mike Baldwin), mais Annie ne la laisse pas parler.

Plus tard dans la journée, Joe Dawson se rend au Rovers pour parler à Annie. En fait, il parle tellement fort que tout le monde ne peut entendre. Il a fait vérifier ses tourtes par un analyste et elles n’ont aucun problème, aucune trace toxique n’a été détectée.

Albert Tatlock, celui qui parle souvent et qui râle beaucoup, aimerait savoir d’où viennent les maux de ventre des résidents et embauchent les jeunes Gail et Suzie.

— Vous pourriez faire votre petite enquête, un peu comme ses filles détectives qu’on voit à la télévision. Ça s’appelle comment, déjà ?

— Les drôles de dames, entonnent Gail et Suzie.

— Oui, c’est ça.

Il leur donne un calepin et un stylo chacune. Les deux jeunes filles prennent ce travail d’appoint très au sérieux, en interrogeant tous les résidents de la rue, parmi lesquels Hilda.

Elles se rendent compte que le problème ne vient pas de Dawson’s Cafe, mais du magasin du coin. Cependant, elles ne savent pas quel produit est incriminé. Elles ont fait une liste des aliments susceptibles d’être à l’origine des intoxications que Suzie débite à une Renee dépitée alors que défile le générique de fin.

Parlons maintenant des Langton. Au petit matin, Ray est taciturne et Deirdre s’inquiète pour lui. Elle trouve qu’il s’épuise à faire trop d’heures supplémentaires et lui propose un cinéma ce soir. Elle remarque dans le journal un film avec Robert Redford et plaisante sur le fait que cet acteur est son type d’homme. Voyant le regard dépité de son mari, elle lui pince affectueusement les joues et lui dit qu’elle plaisante, que tous les Robert Redford de la terre ne remplaceront jamais son mari chéri. Oulala, ma pauvre Deirdre…

Au Rovers, les Langton boivent un verre au comptoir. Ray est toujours aussi silencieux. Deirdre et Bet Lynch se moquent gentiment de lui. Une gêne s’installe lorsque Janice Stubbs arrive, se plante à côté de lui, et commande des boissons à Bet. Deirdre ne soupçonne rien.

À la fin de la journée, il va voir Janice au Dawson’s Cafe tandis qu’elle ferme la boutique. Ils sont seuls. Ray souhaite aller plus loin avec la serveuse et elle est d’accord. Histoire à suivre…

Elsie Tanner doit se rendre quelque part (je n’ai pas compris où, mais peu importe) et appelle un taxi. Ce n’est pas Ron Mather qui vient, car il est au champ de courses pour faire des paris. Il envoie à la place une de ses collègues. Elles parlent de Ron et la jeune femme laisse entendre qu’il a une petite-amie, au grand dam d’Elsie.

Lorsqu’Elsie voit Ron, elle n’ose pas lui en parler. Ron lui dit qu’il s’est arrangé pour être disponible vendredi soir pour l’accompagner au bal de Miami Modes. Nous verrons prochainement où cette histoire va nous mener.

À suivre...