Épisode 1848 - Le mal du siècle et Len en colère

Avant de passer aux choses sérieuses, parlons rapidement d’Ena Sharples. Elle est ravie, car c’est aujourd’hui qu’elle commence à recevoir sa bière gratuitement. Bet Lynch lui fait savoir que cela ne devait commencer que la semaine prochaine, mais tant que Mme Walker n’en sait rien… Quant à Ken Barlow, il informe à qui veut l’entendre au Rovers que son fils Peter commence à travailler à Weatherfield Comprehensive.

L’épisode débute au Kabin. Avec l’arrivée du nouveau décor du Dawson’s Cafe, le magasin tenu par Rita Fairclough et Mavis Riley était un peu passé inaperçu. Nous sommes ravis de retrouver ce petit commerce bien sympathique. Nos deux vendeuses ont un problème avec les disques qu’elles vendent. Le problème, c’est qu’elles ne les vendent pas ! Elles se plaignent auprès de leur fournisseur, Bob Scott. Il leur dit que les disques ne sont pas repris et leur conseille d’être un peu plus en phase avec les amateurs de musique, de consulter les classements des ventes, de regarder des émissions musicales à la télé, etc.

On voit en effet une Mavis désespérée qui tient un album de Frank Sinatra dans les mains. En pleine période disco, ça l’affiche mal. Rita ordonne à Mavis de se mettre à la page et s’intéresser à la pop et au disco.

— Depuis quand est-ce que c’est moi qui dois m’en occuper ? s’insurge Mavis.

— Depuis que c’est devenu un problème.

Len vient chercher sa femme pour faire je ne sais quoi, et laisse Mavis seule. Alors que celle-ci veut ramasser une pièce de monnaie, elle se fait mal au dos, au point de ne plus pouvoir marcher. Lorsqu’un client entre et la voit pliée en deux, elle lui dit que tout va bien. Mais elle ne peut plus bouger et attend avec impatience l’arrivée de Rita. Mais Rita ne semble pas pressée de revenir. Elle et Len décident d’aller prendre un verre au Rovers.

Plus tard, c’est Eddie Yeats qui vient au Kabin. Il veut redresser le dos de Mavis, mais elle le prévient de ne pas l’approcher. Et vous savez quoi ? Je pense qu’elle a raison. Rita arrive enfin et veut que Mavis aille se reposer à l’étage, mais cette dernière persiste à dire qu’elle va bien et que son mal de dos va disparaître.

Un certain M. Garfield entre pour acheter le Financial Times et lorsqu’il voit Mavis pliée en deux, il lui dit qu’il a des notions médicales. Elle consent à ce qu’il l’aide. Il fait sur elle une manipulation qui lui guérit le dos immédiatement. Elle en est ravie.

Parlons maintenant des Langton. Cela fait maintenant plusieurs jours que Ray ne voit plus Janice Stubbs, la serveuse du Dawson’s Cafe. Il passe toutes ses soirées avec sa femme Deirdre.

De son côté, Janice rassure Emily Bishop en lui disant qu’elle ne voit plus Ray depuis qu’elle lui a fait la morale. Emily en est ravie.

Mais Janice se languit de son Ray. Elle passe dans Coronation Street en espérant le voir, mais elle ne croise que sa femme et sa petite fille. Plus tard dans la journée, elle téléphone au bureau de Fairclough & Langton. Deirdre répond. Janice ne se présente pas et dit qu’elle veut parler à Ray. Deirdre lui répond qu’il est absent pour le moment. Janice lui demande de lui passer Len.

— Monsieur Fairclough, c’est Janice Stubbs, du Dawson’s Cafe. J’aurais aimé parler à Ray Langton. Pouvez-vous lui dire de me rappeler ?

Gêné par la situation gênante, Len marmonne quelque chose au téléphone et raccroche. Deirdre est très forte pour reconnaître les voix et dit qu’elle a reconnu celle de Janice. Elle se demande pourquoi elle voulait parler à Ray. Len bredouille une excuse, disant qu’elle a des travaux à faire dans son appartement.

En fin de journée, alors que Ray débarque au bureau et que Deirdre n’est plus là, Len passe un savon à son associé. Il ne veut plus jamais avoir à se retrouver dans cette situation. Il ne veut plus être impliqué dans cette histoire et prévient Ray qu’il risque de perdre Deirdre et Tracy s’il continue ses bêtises.

À suivre...