# 632 - Froid et assistanat

Les Barlow prennent la résolution, pour la nouvelle année, celle de supprimer l'ardoise du magasin. David fait une exception pour Ena lorsqu'elle fait une rare demande de crédit.

Annie encourage Lucille à trouver sa place dans le monde avant de se marier.

Stan refuse un travail d'entretien général dans une usine pour 9 livres par semaine, car il touche 8,10 livres par semaine au titre de l'aide sociale. Hilda est furieuse de voir Stan participer à des concours dans le journal au lieu d'aller à la Bourse du travail. Len lui propose un emploi de manœuvre à Ashton-under-Lyne, mais il le refuse car il pleut.

Ena n'a pas les moyens d'acheter du charbon, alors elle et Vera ont froid. Vera reste au lit car il fait plus chaud.

Minnie demande une pension complémentaire et conseille à Ena d'en faire autant, ce qui lui permet de toucher 4,10 £ par semaine et de payer son loyer.

Irma refuse que Stan achète des cigarettes avec son argent de poche. En cachette, Ena est interrogée par la sécurité sociale.

Annie et Len se souhaitent le meilleur pour 1967.

Jack dit à Stan qu'il ne sait pas s'il peut se permettre de refuser des emplois.

Ena apprend qu'elle recevra 5 livres par semaine car son loyer est gratuit et qu'elle peut gagner jusqu'à 2 livres par semaine sans que cela n'affecte sa pension. Elle est convaincue d'y avoir droit.

Stan ne prend pas la peine de se rendre à la Bourse du travail, convaincu qu'il n'y trouvera rien pour lui. Hilda ne sait plus comment faire pour ramener Stan au travail. Irma l'aide en refusant son ticket jusqu'à ce que Stan trouve un emploi.

L'assistant social, M. Hale, dit que Vera peut avoir 3,19 livres. Vera est surprise qu'Ena s'occupe de tout pour elle sans se faire prier.

Les travaillistes mettent fin à l'allocation de Stan, qui continue de refuser des emplois. Il reproche à Len de ne pas l'avoir averti des règles, et décide de faire appel. Hilda utilise les quinze jours de son salaire du Rovers pour rembourser sa dette au magasin. Stan est horrifié lorsqu'elle lui dit qu'ils vont vivre de son allocation pendant un certain temps. Il n’ose pas lui dire que ses allocations ont été suspendues.

À SUIVRE...