# 758 - Le projet de Val

Le magasin du coin doit mettre en place des offres spéciales en raison de la faiblesse des ventes.

Lucille quitte précipitamment le numéro 9 pour permettre à Ken, agacé, d'interroger Val sur son prétendu projet d'ouvrir un salon de coiffure pour hommes sans en avoir discuté avec lui.

Mme Kenny se présente pour discuter de l'achat du magasin et Irma tente de la convaincre que des personnes comme Elsie achètent un grand nombre d'articles.

Ken est horrifié à l'idée que les gens fassent des commérages à propos d'un flot d'hommes se présentant chez eux. Val, amusée, ne dit rien pour le corriger. Il exige qu'elle jette les articles divers à la poubelle.

Dennis et Jenny s'amusent à remonter le moral d'Elsie pendant qu'elle regarde la télévision. Ils finissent par la conduire au Rovers pour avoir la paix, mais Lucille entre peu après avec les articles divers et s'en débarrasse sur ordre de Val.

Mme Kenny veut parler du magasin avec son mari avant de prendre une décision, car ils ont des vues sur un meilleur magasin.

Jerry dépose l'appel d'offres sans le montrer à Len qui est en colère. Ronald Wilde convoque Jerry qui se rend chez lui sans dire à Len, furieux, où il va.

Minnie annonce à Irma que personne n'achète la boutique à cause de la résorption des bidonvilles. Interloquées, Irma et Lucille pensent qu'elle n'a pas tort.

M. Wilde pense que Fairclough & Booth est trop petit et que son chiffre de 180 £ par unité pour les maisons est trop bas, mais il leur donne néanmoins le contrat car la sincérité de Jerry l'impressionne. Il l'avertit que les travaux commencent presque immédiatement.

Elsie ne comprend pas l'intérêt de Jenny pour son fils, mais un début de chaleur s'installe entre les deux femmes.

Les bulldozers commencent à travailler sur le site des maisons. Il s’agit de construire des maisons résidentielles en lieu et place de la Mission et de l’usine. David confie la vente à l'agent immobilier D.M. White, car il n'a pas réussi à s'en occuper lui-même. Len examine l'offre et s'exclame qu'elle est trop basse. Jerry sait qu'ils n'en tireront aucun profit, mais il pense à l'avenir. Len ne veut pas se développer, il aime les choses telles qu'elles sont. Jerry lui dit qu'il acceptera le contrat lui-même.

À SUIVRE...